
Le combat robotisé est une disciplina plus complexe qu’il n’y paraît. Telle es, en sustancia, la lección de la segunda jornada de la robotica, que está organizada los 10 de mayo en el ejército de la tierra francesa en el campo de Beynes, en las Yvelines. Esta sesión servirá como ouverture à une compétition militaire atípica bautizada «Cohoma», por «colaboration homme machine». L’idee était d’associer, jusqu’au 7 juin, des équipes de militaires, d’ingénieurs et d’entreprises de la défense, con el fin de probar los prototipos de drones aéreos y terrestres autor de escenarios inspirados en situaciones reales.
A mi-chemin de l’ambiance aseptisée des salons d’armement, où ces type de systèmes sont régulièrement exhibés, et des vidéos issues du théâtre ukrainien, qui peuvent parfois laisser croire à une facilité d’emploi de ces nouvelles technologies, c’ Est au contraire toute la complexité de l’usage coordonné de ces équipements que permettait de toucher du doigt la demostration conduite à Beynes par a une unité d’infanterie spécialisée. L’opération fictive était menée devant un parterre de personnalités choisies et réunissait l’ensemble des projets à l’étude au sein de l’armée de terre.
Au milieu du vast terrain herbeux du camp de Beynes, ce jour-là, la maniobra combina drones de reconocimiento, drones bombarderos, municiones teledirigidas (también llamados drones «kamikaze») y robots terrestres. O, tandis que l’exercice montrait comment au moins un soldat par engin est aujourd’hui nécessaire pour les piloter – soit près de la moitié des quatorze hommes déployés –, le vent a empêché le drone kamikaze d’atteindre sa cible. Un robot terrestre que monté en chenilla con permiso pendiente para evacuar una falsa bendición al mismo tiempo que un avión no tripulado bombardero lançait una nube de fumigène afin d’aveugler l’ennemi.
Soucieux de montrer que ses troupes ne risquent pas d’être en retard d’une guerre, le chef d’état-major de l’armée de terre, General Pierre Schill, avait fait le déplacement à Beynes. « Il est des virages qu’il ne faut pas manquer, en il fait valorir. Cela va amener des évolutions profondes, mais je ne sai pas si cela va fundamentalamente remettre en cause le combat. » Una declaración a la imagen de la posición francesa très prudente en matière de robotisation militaire, à la fois ouverte sur les potencialités tactiques de ces équipements mais méfiante face aux défis opérationnels et éthiques qu’ils representent.
Un programa aparte entière
Les destection technologies de cible de beaucoup de drones peuvent par exemple encore commettre des erreurs d’apréciation, parfois simplemente en raison d’une ombre portée. Ante estos riesgos, después de 2021, el comité d’éthique del ministerio de defensa arrêté se suma a una doctrina: no se desarrollará, en Francia, que des « systèmes d’arme létaux intégrant de l’autonomie ». C’est-à-dire des robots qui pourront tuer si necessaire, mais seront toujours, d’une manière ou d’une autre, raccordés à un contrôle humain. Una línea de creta étroite en condiciones de guerra.
Il vous resta el 64,3% de este artículo à lire. La suite está reservada aux abonnés.