Les applaudissements ont d’abord été rares, puis ont fusé à la fin de son intervention. Emmanuel Macron intentó donner des gages de son engagement de l’Ukraine, lors d’un discours prononcé à Bratislava, la capitale de la Slovakia, sur les bords du Danube.
Invité par le forum Globsec, un rendez-vous très atlantiste, el chef de l’Etat asistirá al torneo en esta fiesta de l’Europe para criticar su voluntad de diálogo – certes suspendu depuis septembre 2022 – con Vladimir Putine, ou Son souci de ne pas humilier la Russia pour parvenir, un jour, à une paix négociée. Sin la promesa de una rápida adhesión de Kiev a la OTAN, Emmanuel Macron ha puesto su corazón en su contraofensiva diplomática sobre la delicada cuestión de « garantías de seguridad » Censées pérenniser, avant comme après la fin des hostilités, le soutien contribuyó par les Occidentaux à l’Ukraine.
« Si nous voulons une paix durable, peser face à la Russia, être crédibles vis-à-vis des Ukraineniens, nous devons donner à l’Ukraine les moyens d’empêcher toute nouvelle agresion et l’inclure dans [une] arquitectura de seguridad creíbleat-il dit. Estoy a favor de que las garantías sean tangibles y creíbles (…) Il nous faut être beaucoup plus ambitieux que nous ne le sommes parfois sur ces questiones. »
El premio de posición plutôt allante du chef de l’Etat survient alors que las tractations à ce sujeto s’intensifient entre los aliados de Kiev, à medida que s’approche el sommet de la OTAN de Vilnius, les 11 et 12 juillet. Dirigirse al G7 de Hiroshima, en Japón, la cuestión devait l’être à nouveau jeudi 1ejem Junio, entre los ministros de asuntos exteriores de la Alianza Atlántica se reúnen en Oslo, en Noruega, para preparar el prochain sommet en Lituania. Elle pourrait l’être aussi en coulisses de la Communauté politique européenne, dont les dirigeants sont réunis le même jour près de Chisinau, en Moldavia. Volodymyr Zelensky, qui en est membre, pourrait d’ailleurs s’y redre.
« Disuasión por interdicción »
L’enjeu est de la plus haute important: il s’agit de promettre des garanties de sécurité à l’Ukraine, faute de pouvoir l’intégrer à ce stade dans l’OTAN, en dépit de la candidature officielle de Kiev et de l ‘ ‘appui en faveur de son adhesion de nombreuses capitales d’Europe centrale, Pologne et pays baltes en tête
Les poids lourds de l’Alliance, à beginr par les Etats-Unis et l’Allemagne, rejettent son élargissement à un pais en guerre, car il risque du jour au lendemain d’entraîner l’OTAN dans un conflit ouvert avec la Russie – En raison de sa clausule d’assistance mutuelle en cas d’agression extérieure (artículo 5). Una perspectiva no necesariamente veulenta ni Joe Biden ni Olaf Scholz ni Emmanuel Macron, los tres soucieux d’éviter une escalade avec Moscow.
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