
La espiral de violencia continúa en Burkina Faso. Un grupo de civiles, dont des femmes et des enfants, ont été tués entre lundi et mercedi lors de deux attaques attribuées à des djihadistes, ont declaré vendredi 19 mai à l’Agence France-Presse (AFP) des source sécuritaires et locales. mercedes, « des groupes armés ont mené une incursion à Bilguimdouré »aldea de la comuna de Sangha, en la provincia de Koulpélogo (región centro-este), frontalière de Ghana y Togo, « Faisant une dizaine de morts »a précisé à l’AFP una persona local a cargo.
Deux días más tot, « Una nueva incursión terrorista en el pueblo voisin de Kaongo avait occasionné la mort d’au moins onze personnes dont des femmes et des enfants », en-il poursuivi. Señores de los ataques ces deux, « des maisons et des boutiques ont été incendiées par les assaillants que ont aussi emporté du bétail », selon la fuente del meme. Estos ataques fueron confirmados por fuentes de seguridad, especificando que « des opérations de securisation sont en cours dans la région ».
«Poblaciones desesperadas»
Joints par l’AFP, des ressortissants de la commune de Sangha ont également I confirmó los dos ataques, afirmando que «poblaciones desesperadas tentent de fuir». Selon ces habitants, des groupes armés ont sommé la population de Soudougui, une other municipio de la provincia, « de vider plusieurs villages sous peine de représailles dans les jours suivants ».
La provincia de Koulpélogo, sous couvre-feu después de muchos meses, es el foco de ataques recurrentes malgré les opérations antidjihadistes de l’armée et de ses supplétifs civils. Mi-avril, au moins 24 personas, no vingt Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), avaient été tuées lors de deux attaques atribuées à des djihadiste dans la région du Centre-Est.
Le Burkina, théâtre de deux coups d’Etat militares en 2022, est pris depuis 2015 dans une spirale deviolences djihadistes apparues au Mali et au Niger quelques années auparavant et qui s’est étendue au-delà de leurs frontières. Les violencias ont fait depuis sept ans plus de 10 000 morts, civils et militares, selon des NGOs, et plus de 2 million de déplacés internes.