
TotalEnergies (ex-Total) n’en démord pas. Le pétrolier continúa con miser largement sur le gaz naturel liquefié (GNL, o LNG en inglés), malgré la vive désapprovación d’associations de défense de l’environnement. Cette énergie transportée par bateau presumiblemente au préalable une extract par fracturació hidraulique, cuand il s’agit de gaz de schiste. Méthode interdite en France, car novice pour le climat, mais très pratiquée aux Etats-Unis.
Jueves 13 de julio, le géant français de l’energie ainsi officialisé la décision finale d’investissement pour participer à la construcción d’une usine de liquefaction aux Etats-Unis. El megaproyecto Rio Grande LNG, en Brownsville (Texas), está desarrollado por Americas NextDecade y cofinanciado por los fondos de inversión Global Infrastructure Partners.
Le groupe français entiende preparar 5,4 millones de toneladas anuales (Mtpa) durante el próximo año, en torno a la fecha de 2027. Quedan unos días menos que la capacidad total de los tres trenes de licuefacción antes de esta primera fase. Leur coût global a été chiffré en 14.800 millones de dólares (alrededor de 13.250 millones de euros). L’entreprise française acquiert près de 17% des parts du projet. Del mismo modo, entiende monter au capital de NextDecade, à hauteur de 17,5%, d’ici à la fin de l’année.
Más 15 millones de toneladas para exportaciones para 2030
A partir de 2030, todos los proyectos cumplen, TotalEnergies tiene un plus exportador de 15 Mtpa después de Estados Unidos. Son PDG, Patrick Pouyanné, me adelanté a ellos « bajas tasas de producción » du GNL americain. Una oportunidad, selon lui, vierte « contribuir a la seguridad del suministro en gas de l’Europe ». Tras el inicio de la guerra en Ucrania, en febrero de 2022, los Estados miembros de la Unión Europea (UE) cherchent à s’affranchir des livraisons russes. Selon M. Pouyanné, la GNL estadounidense también permite “ fournir aux clients asiatiques une energie alternativa deux fois moins émettrice que le charbon » pour ce qui concerne le gaz à effet de serre, responsable du réchauffement climatique.
Ce nueva inversión confirmar « La expansión de Total en combustibles fósiles en general y, después de 2018, en GNL privado »criticó a Edina Ifticene, encargada de hacer campaña para la ONG Greenpeace. « El grupo va dans le sens des profits plutôt que dans celui de la Transition énergetique »poursuit-elle, cuando bien la comunicación también sur des investissements dans les énergies renuvelables. « L’entreprise presenta el GNL como solución milagrosa, notamment después de la guerra en Ucrania, là où il faudrait surtout réduire la demande gazière. A contresens des connections de l’Agence internationale de l’énergie, cet investissement lourd nous enferme encore dans le GNL pour de nombreuses années. »
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