
La remisa en la causa del acuerdo sobre la exportación de granos ucranianos será «perilleuse», estima un experto
Una remisión en causa de los corredores permanentes de exportación de los blés, maïs et tournesols ukrainiens serait «perilleuse»auto «personne n’est venu replacer l’Ucrania» dans le club très fermé des pays à la fois Produceurs et exportateurs de blé, estimar le chercheur Sébastien Abis, dans un entretien consented à l’Agence France-Presse. O amputé de una cuarta parte de su tierra cultivable, con «Un asistente de producción en 2023 a cambio del 50 % de la relación para 2021»el aeropuerto de Ucrania «permanece vital».
En quinze mois, rappelle l’auteur de geopolítica du blé (IRIS editions/Armand Colin, 2015), ces corredores ont éloigné le risque d’une catastrophe alimentaire majeure dans de nombreux pays fragiles, permettant d’exporter que 60 milliones de produits agricoles d’Ukraine et de faire baisser les cours mondiaux des céréales .
Après avoir atteint un pic en mai 2022, avec un blé à près de 440 euros la tonelada sur le marché européen, les cours ont reflué, jusqu’à passer sous leur niveau d’avant-guerre, autour de 235 euros récemment, à la mi-mai.
Además de que el acuerdo céréalier de la mer Noire, que permite la exportación de más de 30 millones de toneladas de granos de Ucrania después de su apertura le 1ejem août l’an dernier, arribe à échéance jeudi, l’incertitude plane toujours sur son devenir.